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17 octobre 2009 6 17 /10 /octobre /2009 13:19
Mercredi dernier, 14 octobre, réunion avec le maçon et le constructeur afin de finaliser les plans pour le dépôt du permis de construire et notamment la partie évacuation des eaux pluviales et assainissement.
Bonne nouvelle, le maçon nous annonce que les microstations sont officiellement rentrées dans les "moeurs" avec l'arrêté du 9 octobre et que donc, la communauté de communes ne pourra plus nous em... avec ça. Le rejet des EU va donc pouvoir se faire en milieu superficiel, donc pas besoin, a priori, de faire les fameuse tranchées d'infiltration.
Côté EP, stockage dans une cuve de récupération et trop plein dirigé vers un "bassin de rétention" d'environ 50 m3 en cas de (très) gros orage.
Cool, ça prend forme.
Précision du maçon, qui nous recommande fortement, de faire une étude sol. De toute façon, sa garantie décennale marchera pas si aucune étude de sol n'est faite. Il nous annonce un tarif de 3000 € TTC. Coup d'oeil avec le constructeur...c'est pas un peu beaucoup, non ?
Oui mais (dit le maçon) il faut au moins descendre à 1 m profondeur pour les fondations, donc ça demande une étude de sol particulière. Particulière ? des études de sol, y en a pas 10 000 !!
C'est l'étude de sol G12 phase 2 qui prévaut. Concrètement, il s'agit pour le bureau d'étude de faire 3 essais au pénétromètre sur chenillard à 6 m de profondeur (ou au refus, c'est à dire quand ça reste bloqué ) et un sondage mécanique à 3 m de profondeur (ou au refus). Donc, c'est bien ce que le maçon nous a annoncé, mais le prix lui est moindre 1600 € TTC.

Voilà, si tout se passe bien, on devrait déposer le permis la semaine prochaine , juste après avoir vu le banquier.
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17 octobre 2009 6 17 /10 /octobre /2009 13:02
Ouf !! on les attendaient depuis longtemps ceux là !

Les textes parus au JO du 9 octobre 2009 clarifient la situation des microstations...entre autres...

Texte tiré du site http://www.revue-ein.com :

Bien que leur contenu soit, dans les grandes lignes, connu depuis longtemps, la publication au J.O. du 9 octobre des arrêtés du 7 septembre 2009 dessine assez clairement les contours du nouveau cadre réglementaire pour l'assainissement non-collectif. Au menu : arrivée des micro-stations d'épuration mais aussi institution de contrôles obligatoires sur la conception et l'entretien des installations.

La loi sur l'eau du 30 décembre 2006 a modifié le paysage réglementaire de l'assainissement non collectif en renforçant les compétences des communes : contrôle des installations avant le 31 décembre 2012, mise en place d'un contrôle périodique, possibilité d'assurer une mission de contrôle, éventuellement d'entretien, ainsi que des missions complémentaires facultatives de réalisation et réhabilitation, possibilité de fixer des prescriptions techniques notamment pour l'implantation ou la réhabilitation d'un dispositif d'assainissement non collectif, etc…

Problème : ces dispositions, censées améliorer l'état et le fonctionnement des installations d'ANC et ainsi réduire les risques sanitaires et environnementaux liés à leurs défaillances, impliquaient une modification des textes réglementaires publiés en mai 1996.

Pour les plus grosses installations, c'est-à-dire celles recevant une charge brute de pollution organique supérieure à 1,2 kg/j de DBO5 (20 E.H.), la réglementation a été mise à jour par l'arrêté du 22 juin 2007 remplaçant les dispositions de l'arrêté du 6 mai 1996 qui leur étaient applicables.

Mais pour les autres, c'est-à-dire celles dont la charge est inférieure à 1,2 kg/ j de DBO5, la gestation a été bien plus difficile pour ne pas dire chaotique. Initialement annoncés pour 2007, 2008 puis 2009 les nouveaux arrêtés ont fait l'objet d'intenses tractations. Le ministère de l'écologie, confronté à un intense lobbying a été jusqu'à mettre, sous couvert de concertation, les projets d'arrêtés en ligne !

Après avoir largement circulé sur Internet, trois textes ont finalement été publiés au journal officiel le 9 octobre 2009. Le premier arrêté concerne les prescriptions techniques applicables aux installations dont la charge n'excède pas 1,2 kg/ j de DBO5.

Ce texte reprend les prescriptions techniques existantes et réaffirme le pouvoir épurateur du sol et des autres matériels agréés. Mais, il rend possible l'usage d'autres dispositifs de traitement, essentiellement les micro-stations et filtres plantés, dès lors qu'ils respectent les prescriptions minimales, notamment en ce qui concerne les performances épuratoires des installations : 30 mg/l pour les MES et 35 mg/l pour la DBO5. Ils doivent cependant faire l'objet d'une évaluation menée par des organismes tels que le CSTB ou le Cerib, sur la base des résultats obtenus sur plateforme d'essai, selon un protocole précisé en annexe 2.

Mais les dispositifs de traitement qui ont déjà fait l'objet d'une évaluation au titre du marquage CE et ceux qui sont fabriqués ou commercialisés dans un autre État de l'union ou en Turquie, ou dans un état membre de l'Accord sur l'Espace économique européen, disposant d'une évaluation garantissant un niveau de protection de la santé publique et de l'environnement équivalent à celui de la réglementation française peuvent bénéficier d'une évaluation simplifiée de l'installation, décrite en annexe 3.

Le second arrêté concerne les modalités de l'exécution de la mission de contrôle des installations d'assainissement non collectif.

Les installations devront faire l'objet d'un entretien dont la périodicité sera fixée par le maire mais qui ne devra pas excéder 8 ans. Selon qu'elles ont été réalisées ou réhabilitées avant ou après le 31 décembre 1998, elles devront subir un diagnostic de bon fonctionnement et d'entretien ou une vérification de conception et d'exécution selon les modalités fixées dans le décret. S'enclenche ensuite une procédure similaire à celle du contrôle technique automobile : A la suite de sa mission de contrôle, la commune consigne les observations réalisées au cours de la visite dans un rapport de visite transmis au propriétaire. Rapport qui contiendra selon les cas des recommandations sur l'entretien ou la nécessité de faire des modifications ou en cas de risques sanitaires et environnementaux, la liste des travaux à réaliser par le propriétaire de l'installation dans les quatre ans. A l'issue des travaux, la commune effectue une contre visite pour vérifier leur réalisation comprenant une vérification de conception et d'exécution dans les délais impartis, ayant remblaiement.

Le troisième arrêté définit les conditions dans lesquelles sont agréées les personnes réalisant les vidanges et le transport et l'élimination des matières extraites des installations d'assainissement non collectif.

Au total, que retenir de la nouvelle réglementation ?
Globalement, elle va renforcer le rôle du sol, améliorer son mode d'utilisation afin de limiter les impacts environnementaux et sanitaires. En pratique, le niveau de traitement devra être en rapport avec les propriétés du sol et du sous-sol. La fiabilité et la nature du traitement épuratoire devra protéger son intégrité.

Au niveau des équipements, la filière de traitement classique, c'est-à-dire fosse toutes eaux à fonctionnement anaérobie suivie d'un réseau d'épandage a certainement de beaux jours devant elle. Mais elle va subir de plein fouet la concurrence de systèmes plus compacts. Telles les Micro Stations (....) [liste supprimée pour des raisons de pub] qui constituent une alternative sérieuse aux procédés extensifs existants. Leurs atouts sont réels : compacité, simplicité de mise en œuvre et faible coût à l'achat. Mais elles ne sont pas dénuées de contraintes toutes aussi réelles : vidanges fréquentes, nécessité d'une alimentation électrique qui les rends inéligibles au prêt à taux zéro, difficulté d'adaptation aux variations de charges, etc…

Au niveau contrôle, de vraies procédures portant à la fois sur la conception mais aussi l'entretien des installations sont désormais instituées. Nul doute qu'elles constituent pour les SPANC un cadre indispensable à la bonne exécution de leurs missions. Mais elles posent aussi pour les communes et pour les SPANC de nouveaux problèmes en matière de formation des personnels et de moyens financiers. Conscient de ces difficultés le ministère de l'écologie a jugé nécessaire de promouvoir un « plan d'action national l'ANC » pour accompagner les SPANC et assister les propriétaires d'ouvrages.


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11 octobre 2009 7 11 /10 /octobre /2009 11:24

Ah quel joli mot ! en fait, il s'agit de creuser un fossé pour tenter d'y faire infiltrer les eaux sortant de l'assainissement.
Ah oui au fait, le choix est fait : ce sera une microstation couplée avec un lit filtrant (bac à sable + roseaux). Bon, faut bien avouer que les roseaux sont là pour faire joli, car ce sont plus les bactéries accrochées au grains de sable qui vont accomplir le boulot de "dépollution".
Du coup, si vous avez suivi l'histoire, pas de pompe de relevage pour évacuer les eaux de sortie dans le fossé, ni de tranchée de 200 m en sous sol du champ du voisin. Donc l'option, conseillée d'ailleurs par la communauté de communes, c'est l'option infiltration, mais avec notre terre argileuse, il faut faire quelques aménagements. A savoir 2 tranchée de 30 ml chacune, 50 cm de profondeur et 70 cm de large.

Voici un dessin pour mieux comprendre :
-pandage

20 cm de gravier sur 70 cm de large, avec le tuyau drain "noyé" dedans, un film géotextile et environ 40cm de terre.
Voila pour la théorie. Pour la pratique, le chantier sera réalisé en même temps que les tranchées pour les gaines tpc, à la fin de la construction donc. Et nous verrons certainement notre mini-pelle revenir !
Des nouvelles dans 6 mois ;)

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13 septembre 2009 7 13 /09 /septembre /2009 11:54

Comme vous l'avez certainement compris, pas question de faire réaliser l'accès chantier par un pro, car à ce prix là, le cerveau nous dit, "non mais ça va pas ! prends une pelle et fais le toi même !"
Sauf que le cerveau n'a pas précisé que la pelle n'est pas celle à laquelle on pense, mais notre fameuse minipelle 1,5 T.
Allez, youpi, dans la foulée du busage fossé, c'est parti pour décaisser 20 cm sur 70 m de long et 3 m de large !
Bon, au début, ça ressemble plus à un champ de bataille qu'à autre chose.

DSC03339

Mais on finit par comprendre que la lame de la minipelle ne sert pas qu'à la stabiliser, on peut aussi s'en servir comme un "bulldozer".
Et, le résultat se rapproche de l'idée de départ.

DSC03340

Si vous avez suivi l'article "busage du fossé 2", vous savez que j'en ai profité pour faire le terrassement du coin abri de jardin

DSC03343

et creuser la tranchée d'infiltration

DSC03342

Comme pour le busage du fossé, on va attendre que ça se tasse avant de dérouler le géotextile et d'y déposer le concassé 0/80.

Voila les dernières nouvelles, la suite bientôt !

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13 septembre 2009 7 13 /09 /septembre /2009 11:32

Eh bien voila, après 2 jours de travail, le fossé est enfin busé !
Vous vous rappelez de la minipelle ?
La voila en image :
DSC03349

minipelle 1,5 T livrée avec 3 godets mais sans le chauffeur
Bon, ben faut avouer que la prise en main a été relativement rapide, en 2-3h environ.
Donc pour résumer, au programme curage du fossé, réalisation de l'accès chantier (à voir dans l'article du même nom), préparation de l'emplacement futur de l'abri jardin et réalisation de la tranchée d'épuration en bas du terrain. Oui finalement, pas besoin de pompe de relevage ou de tranchée en sous-sol du champ de tournesol, une simple tranchée d'infiltration suffit, dixit la fille de la communauté de commune et le gars de l'assainissement. C'est une bonne nouvelle ça !

Bon, treve de blabla, voila quelques photos.
Tout d'abord, pour économiser 40 € de frais de livraison (ben vi, à 8 km, on va pas demander au camion de livrer quand même !) je suis allé chercher moi même la buse. Pour info, il s'agit d'une buse polyéthylène de 400 mm de diamètre interne et de...6 mètres de long ! gloup, comment faire pour la ramener ? Dans la voiture ? euh..oui, mais ça va dépasser du coffre, non ?
Ah oui, sur le toit ? oui pourquoi pas ? mais comment je fais ? ben oui, j'ai pas de galerie moi !
C'est là qu'intervient le fameux système D !

DSC03344

Et là vous vous dites, mais il est fou l'garçon ! et je vous réponds que vous n'avez pas tort. Mais bon, ça fonctionne super bien !
Donc, le sandwich est composé d'une couverture, d'une palette sanglée à la voiture et de la fameuse buse sanglée également à la voiture.
Et le poids total vous allez me dire. Oh ! trois fois rien, 9 kg au mètre, je vous laisse faire le calcul.
Arrivé sans encombre au terrain, petit coup de main du voisin pour déposer tout ça au fond du fossé, après un dernier coup de pelle pour que tout soit nickel.

DSC03345

Après, le plus ch... ramener du 0/20 pour caler et remblayer, sans oublier la rubalise pour signaler le chantier.

DSC03346

Voila le résultat, photo prise hier soir

DSC03347

Un passage à la minipelle pour tasser un peu, un p'tit coup d'arrosage et puis on laisse reposer avant d'y rajouter du concassé 0/80.

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9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 18:51

Bonjour à tous

Aujourd'hui, les gars de Suez sont venus "installer l'eau".  Youpi !
Première chose à faire, creuser, en faisant attention de ne pas arracher les fils enterrés de France Telecom.

DSC03317

Bon pas de soucis, les cables telecom sont protégés par une poutre en béton.

Deuxième étape, mettre en place la fusée, cette sorte de taupe métallique poussée à l'air comprimé qui est censée ressortir de l'autre côté de la route. Le but est d'éviter de creuser une tranchée sur la route, c'est à dire de bloquer le trafic, abîmer la chaussée....et gonfler le devis !
Voila la bête !

DSC03321

Les gars ont du s'y reprendre à deux fois, car vu la sécheresse du sol, même à 1 m de profondeur, la terre est dure comme du béton !
Bon, la fusée est partie, reste plus qu'à attendre 1h30 le temps qu'elle ressorte de l'autre côté de la route (ben oui, à raison de 1mm/s, ça prend du temps).



Pendant ce temps là, l'emplacement de sortie de la fusée de l'autre côté de la route a été déterminé précisément (avec une sorte de lunette que l'on pose sur la fusée), ce qui permet d'attaquer à la minipelle le fossé d'en face, de retrouver le tuyau d'alimentation générale et d'y greffer le tuyau pour l'alimentation du terrain.

DSC03330

Une fois la fusée arrivée, on y passe le tuyau (du PE bande bleue 25 mm) et on met en place le regard avec le compteur.

DSC03332
DSC03335

Voila, reste plus qu'à reboucher le tout...

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...un p'tit coup de balai et le tour est joué !

DSC03338

En tout, l'opération aura duré 3 heures. Chapeau les gars et encore merci !

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1 septembre 2009 2 01 /09 /septembre /2009 12:45
Ben dans le fossé vous allez me dire...oui, en effet, mais lequel, celui qui est "en haut" du terrain, et qui nécessite donc l'installation d'une pompe de relevage, ou celui qui est "en bas" de l'autre côté du champ de tournesol et donc à perpette les oies (environ 270 m).
D'un point de vue budget, les premiers devis sont kifkif pour les 2 solutions.
Le problème de la pompe de relevage, c'est que si il y a une coupure d'électricité, ben faut pas que ça dure plus de 2 jours, vous comprenez aisément pourquoi
Le problème de la solution "en bas", c'est qu'il faut creuser à travers champ et assez profond pour pas qu'un engin agricole arrache tout et qui si ça se bouche un jour, ben bonjour pour le nettoyage sur un tuyau de 300 m de long
Bon, voila où nous en sommes...
N'hésitez pas à laisser vos commentaires, ça nous aidera sans doute à choisir la solution.

F.
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31 août 2009 1 31 /08 /août /2009 17:56

Hello !

Après une petite semaine de vacances chez notre p'tit frère Féli, nous voilà de retour pour la suite des aventures!

Des nouvelles du terrain....oui oui, c'est toujours le même, ne vous inquiétez pas, c'est juste qu'il faut maintenant penser au busage et à la préparation de l'allée pour l'accès chantier.
Un p'tit tour sur internet, juste pour confirmer que faire réaliser ces travaux (busage et allée) par un pro est bien au dessus de notre budget et puis, ça a l'air super sympa de conduire une minipelle !
Quoi qu'il en soit, la banque nous demande un devis pour les matériaux, donc la démarche reste la même.
Pour l'instant, on part sur un budget total de 1700 € comprenant la location de la minipelle, le carburant (ben oui faut pas l'oublier ça), le géotextile (à poser entre la terre et les cailloux), les cailloux et.........la buse, donc.

Si tout se passe bien, Suez vient faire les travaux de viabilisation eau la semaine prochaine, le 09/09/09 à 9h (oui je sais, on aurait voulu le faire exprès, on aurait pas réussi ) donc, je devrais attaquer à la minipelle juste après. Enfin juste après avoir reçu la réponse du Conseil Général, car tout travaux débouchant sur le domaine public doit faire l'objet d'une demande. Rien de bien méchant, juste un papier à remplir avec en plus le plan de situation et le cadastre pour noter l'emplacement précis de l'accès au terrain depuis la route. Les papiers seront déposés mercredi, espérons que la réponse arrive rapidement.

Des photos bientot !

mini-pelle

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16 août 2009 7 16 /08 /août /2009 14:26

Les plans sont en voie de finalisation, c'est pourquoi, nous vous proposons un aperçu de notre future maison.
Pour information, tous les dessins "techniques" ont été réalisés sous Google Sketchup, super soft que l'on vous recommande d'ailleurs.

Voici un aperçu de la façade sud avec, de gauche à droite, la fenêtre de la salle de bain, la porte fenêtre de la chambre, les baies vitrées du salon et la porte fenêtre du bureau.

maison1

Une vue de la façade nord avec, de gauche à droite, la fenêtre des wc, la porte fenêtre terrasse nord, la fenêtre du cellier, la porte d'entrée, la fenêtre des wc et celle du dressing.
maison2

Bon, on se tâte encore pour savoir où on va mettre du crépis, où sera le bardage bois, quelle sera la couleur exacte, donc les dessins seront sans doute amenés à changer, mais la géométrie de la maison bien sur, reste la même.
Dès qu'ils seront finalisés, nous vous mettrons en ligne les plans de la maison, encore quelques semaines ;-).

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16 août 2009 7 16 /08 /août /2009 14:18

La toiture est un bac acier monopente de 7%. La composition est representée sur le dessin. La structure porteuse est la même que pour la dalle bois, à savoir une poutre en I remplie de ouate de cellulose. Le côté phonique de l'isolation est assurée par une laine de bois haute densité de 5cm. Un pare-pluie recouvre la laine de bois et assure le drainage de l'humidité et une lame d'air permet la respiration/ventilation de la sous-toiture.
coupe toiture

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